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L’action de jeunes en rollers dans le quartier juif d’Anvers est inadmissible
Deux jeunes Anversois d'origine palestinienne ont tout récemment fait le tour du quartier juif d'Anvers en rollers, en arborant un drapeau palestinien. Ils ont ciblé des Juifs de manière individuelle et ont publié une vidéo de leur action sur YouTube. Cet événement a provoqué beaucoup d'émoi dans la communauté juive d'Anvers. Unia a reçu plusieurs signalements se rapportant à cet événement.
L’usage de la violence dans les conflits entre communautés n’est pas une option
Le tribunal correctionnel de Gand s'est prononcé ce 16 novembre 2020 dans l’affaire relative à l'association Fedactio. Les prévenus, d'origine turque, étaient jugés pour avoir posté sur les médias sociaux des messages incitant à la haine et à la violence, pour avoir tagué et endommagé un bâtiment de l'asbl Fedactio, une organisation coupole des associations du mouvement Gülen en Belgique. Cela s'est produit après que le président turc Erdogan et ses partisans, suite à l'échec d'une tentative de coup d'État en 2016, aient appelé à poursuivre et à agresser les adeptes du mouvement Gülen. Cet appel a, hélas, également été entendu en Belgique.
Unia promeut le vivre-ensemble même pendant le coronavirus
La crise du Covid qui sévit dans notre pays a alimenté une méfiance mutuelle parmi la population. « Nous constatons une forte tendance à culpabiliser ou à désigner des boucs émissaires », déclare Patrick Charlier, directeur d'Unia. « Nous devons contrer cette tendance qui ne profite à personne et au contraire soutenir les nombreuses formes de solidarité que cette pandémie a également fait apparaitre. Le Covid n’est pas encore derrière nous. Nous devons apprendre à vivre avec ce virus sans détruire le liant de notre société. »
Condamnation d’une grave agression routière, le motif de haine reconnu
Le tribunal correctionnel d’Anvers a rendu ce 2 novembre 2020 son jugement dans une grave affaire d’agression routière. Le prévenu a été reconnu coupable et a été condamné à une peine de prison de 30 mois et à une amende de 1.600 euros pour coups et blessures volontaires. Unia a estimé le dossier suffisamment grave pour se constituer partie civile.
Cherche : équilibre belge entre droits fondamentaux et intérêt général
Nous tenons à nos droits. Et leur si naturelle jouissance ne découle en aucun cas de notre position sociale, de notre origine ou de notre genre. Ces droits, inaliénables, que l’on appelle volontiers droits humains, nous avons la faiblesse de croire qu’ils nous appartiennent – toujours, partout et pour toujours.
Un juge condamne des faits d’homophobie à Zele
Le tribunal correctionnel de Termonde a condamné ce 23 juillet 2020 un individu dans une affaire de coups et blessures infligés à une personne gay. Le prévenu a été condamné à un an de prison avec un sursis probatoire de cinq ans. Unia obtient 100 euros de dommages et intérêts. Unia est satisfait de cette décision, qui constitue une nouvelle étape dans la lutte contre l’homophobie.
Un juge condamne la glorification du régime nazi
Le tribunal correctionnel de Louvain a condamné un habitant de Keerbergen pour violation de la loi sur le négationnisme et la loi antiracisme. L’homme a écopé d’une peine d’un an de prison ferme et d’une amende de 800€. Unia, qui s’était constitué partie civile, recevra 500€.
Les actes racistes à la gare d’Aerschot sévèrement sanctionnés
Le tribunal correctionnel de Louvain s'est prononcé sur l’agression raciste de la gare d’Aerschot. Les trois prévenus ont été condamnés à des peines d’emprisonnement effectives comprises entre 9 mois et 1 an et à une amende de 400 euros. Unia se félicite de la décision du tribunal. Unia s’était constitué partie civile dans cette affaire aux côtés des victimes.
Vote des personnes en situation de handicap : les mentalités évoluent, mais des obstacles persistent encore
Trop de personnes avec un handicap intellectuel ou des troubles psychiques n’arrivent toujours pas à exercer pleinement leur droit de vote. C’est ce qui ressort d’une recherche faite par Unia dans la foulée des élections de 2018 et 2019.
Assouplir les mesures corona sans discrimination fondée sur l’âge
Les plus de 65 ans se voient de plus en plus souvent soumis à l'occasion de l'assouplissement des mesures corona à d'autres règles que le reste de la population. Cependant, une personne de plus de 65 ans n’est pas l’autre. Unia estime qu’il existe suffisamment d’alternatives pour ne pas faire une distinction en fonction de l’âge, mais en fonction de l’état de santé réel, par exemple.