La maman prend contact avec Unia, qui estime qu'il s'agit d'une situation de handicap. Il est en effet possible que l'élève ne puisse pas monter les escaliers de façon autonome pendant une longue durée.

La direction informe Unia qu'elle a prévenu les parents qu'il était nécessaire d'inscrire leur enfant en immersion, alors qu'il y avait encore de la place. Inquiets par l'opération de leur fille, les parents ont laissé passer la date.

Unia demande qu'une dérogation soit faite, mais la direction refuse. Elle accepte une rencontre avec Unia et les parents. Lors de la visite de l'école, les collaborateurs d'Unia prennent conscience des difficultés, mais l'école explique ne plus avoir de place en immersion.

Deux solutions trouvées

Il a donc été décidé qu'une personne soit mobilisée par l'école pour monter et descendre les escaliers avec l'élève aux différents moments de la journée. Les parents sont rassurés que leur fille sera accompagnée.

Quelques jours après la rentrée, une autre solution a été trouvée : l'élève était sur la liste d'attente des classes en immersion et une place s'est libérée. Elle peut donc continuer sa scolarité au rez-de-chaussée.  

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