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Cour constitutionnelle, 11 mars 2009

En 2007, la législation antidiscrimination a été profondément réformée. Dans cet arrêt (n° 40/2009), la Cour constitutionnelle interprète plusieurs dispositions de la loi du 10 mai 2007 modifiant la loi du 30 juillet 1981 tendant à réprimer certains actes inspirés par le racisme et la xénophobie.

Publié : 11/03/2009
Domaine(s) : Activité accessible au public (économique, sociale, culturelle ou politique), Emploi, Biens et services, Affiliation à une organisation de travailleurs ou d’employeurs, Protection sociale, Mention dans une pièce officielle ou dans un PV
Critère(s) de discrimination : Racisme
Infraction(s) à la loi : Autre
Pouvoir judicaire : Cour constitutionnelle
Juridiction : Belgique
Unia partie (civile) : non

Les faits

En 2007, la législation antidiscrimination a été profondément réformée. Un recours en annulation (partielle) a été introduit devant la Cour constitutionnelle contre les articles tels qu’ils ont été insérés par l’article 3 de la loi du 10 mai 2007 modifiant la loi du 30 juillet 1981 tendant à réprimer certains actes inspirés par le racisme et la xénophobie.

Décision

La Cour constitutionnelle rejette le recours en annulation sous réserve d'un certain nombre d'interprétations que l'on retrouve dans les considérants B.29.4, B.33.4 et B.70.2. 

Point d'attention

D'autres recours en annulation ont été introduits. Voir aussi : arrêt n° 17/2009 du 12 février 2009, arrêt n° 39/2009 du 11 mars 2009, arrêt n° 41/2009 du 11 mars 2009 et arrêt n° 64/2009 du 2 avril 2009.

Unia n'était pas partie à la cause.

En abrégé: C.C., 11/3/2009 - n° 40/2009.

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