Un centre de reproduction humaine lève la dernière discrimination à l’encontre des couples lesbiens
Lors de l’implantation post mortem (soit après le décès du partenaire) d’un embryon préalablement conservé par congélation, le partenaire doit avoir donné son consentement avant son décès. Un centre de reproduction humaine avait fait une lecture restrictive de la loi en ne prévoyant cette possibilité que pour les couples hétérosexuels. .

Après intervention d’Unia, les couples lesbiens peuvent désormais également recourir à l’implantation post mortem. Le centre concerné a adapté les contrats de ses patients et en a informé tous ses collaborateurs