Un centre de reproduction humaine lève la dernière discrimination à l’encontre des couples lesbiens

10 Avril 2017
Domaine d'action: Tous les domaines
Critère de discrimination: Orientation sexuelle

Lors de l’implantation post mortem (soit après le décès du partenaire) d’un embryon préalablement  conservé par congélation, le partenaire doit avoir donné son consentement avant son décès. Un centre de reproduction humaine avait fait une lecture restrictive de la loi en ne prévoyant cette possibilité que pour les couples hétérosexuels. .

Après intervention d’Unia, les couples lesbiens peuvent désormais également recourir à l’implantation post mortem. Le centre concerné a adapté les contrats de ses patients et en a informé tous ses collaborateurs