Bien qu'elle ne soit pas vraiment une incitation à la haine au sens juridique du terme, cette publicité nourrit les amalgames et stigmatise les réfugiés en attisant la crainte des citoyens. Après avoir été contactée par le Centre, la société a publié un message sur son site internet pour clarifier ses intentions et diffusé une nouvelle publicité dans laquelle elle s'engage à offrir un certain montant à la Croix-Rouge pour tout portail commandé.