Recommandations pour l’information relative aux personnes étrangères ou d’origine étrangère

En 1993, une première étude du contenu de plusieurs quotidiens francophones et flamands fut menée par l’Université de Gand, à la demande de l’AGJPB et d’Unia sur la manière dont les médias représentaient les personnes d’origine étrangère.

Dans la foulée, le Groupe de travail Médias et Migrants de l’AGJPB, la Fondation Roi Baudouin et Unia publiaient un guide de recommandations pour l’information relative aux personnes d’origine étrangère. Le travail fut poursuivi en 2007,  sous la direction de Frieda Saeys (UGent) et de Marc Lits (UCL), avec l’étude « Représentation des minorités ethniques dans les médias belges » (dont la synthèse se trouve ci-contre). 

En mai 2016, le CDJ a remis à jour le guide des recommandations, lequel se double d’un lexique qui reprend les termes qui font, dans ces matières, l’objet des confusions les plus fréquentes.  

Publications comparables

29 Mai 2020

Des messages à la frontière entre opinion et discours de haine : une analyse de la communication des personnalités politiques belges francophones sur les réseaux sociaux

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Conformément aux compétences attribuées à Unia en matière de lutte contre le discours de haine en ligne, nous souhaitions comprendre comment ces discours se construisent, sur quels ressorts ils fonctionnent et comment ils gagnent “en efficacité”. À la demande d'Unia, des chercheurs de la VUB (Vrije Universiteit Brussel) et de l'UCLouvain ont réalisé une analyse des caractéristiques linguistiques des propos d'hommes et femmes politiques et d'influenceurs sur les réseaux sociaux en période électorale.

13 Juin 2018

Rapport annuel 2017 : Refuser l’inertie

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2017 a été une année chahutée. Les débats relatifs aux matières liées aux compétences d'Unia ont été vifs mais ont mené à plusieurs avancées pour lutter contre les discriminations. Il faut notamment citer l'adoption, en Région bruxelloise, d'une ordonnance permettant d'approcher un employeur sous une identité d’emprunt en vue de vérifier s’il discrimine un candidat (mystery shopping). Le fédéral a suivi, plus timidement, début 2018.