Un autre monde est-il possible ? Ils et elles témoignent !

20 Juin 2022
Domaine d'action: Tous les domaines
Critère de discrimination: Tous les critères

Retrouvez les témoignages complets dans notre rapport annuel 2021.

    Un autre monde est possible ?

    Oui, car les jeunes s’engagent les uns pour les autres !

    Classe de 5ème secondaire de l’école GO ! (Geel)

    Pourquoi c’était important pour nous de participer au concours #DonneMoi1Minute ? Nous n'avons pas hésité une seconde ! C’est franchement ridicule que des gens aient encore du mal avec l'orientation sexuelle des garçons et les filles qui s’identifient comme LGBTI+. Pourquoi y a-t-il un placard ? Nous voulons que chacun, tel qu’il est, ait sa place dans notre société !

    Oui, grâce aux personnes qui s’engagent jour après jour pour un monde plus juste ! 

    Bart, employé d’Unia depuis 26 ans

    J’aime mon travail. J’aime bien avoir un job où j’ai beaucoup de contacts avec les gens. Et, surtout, je peux m’identifier pleinement à ce qu’Unia fait et à ce qu’Unia défend. Même si ma contribution en tant qu’employé à l’accueil est modeste, la motivation vient toute seule si on peut faire partie d’une organisation qui lutte contre la discrimination, protège les droits humains et favorise l’égalité.

    Oui, car Unia forme les employeurs pour plus de diversité au travail !

    Floriane De Graeve, manager Diversité et Projets RH à la commune de Schaerbeek

    Nous souhaitons que toute personne impliquée dans le processus d’engagement ait connaissance de la législation antidiscrimination et soit consciente de ses propres stéréotypes. Ainsi, le processus de recrutement pourra se dérouler le plus objectivement possible.

    Oui, car nous défendons les citoyens et citoyennes contre les discriminations !

    Rachida préfère témoigner dans l'anonymat

    Désormais, je n’hésite plus. Si je vois que je suis victime de discrimination, je le signale. On ne peut pas se laisser simplement marcher sur les pieds. Cela fait du bien de se sentir soutenue.

    Oui, grâce aux personnes qui accompagnent au quotidien ceux qui en ont besoin.

    Chantal Dehon – directrice de l’asbl Résidence Bois du Manil (Wavre)

    C’est la personne âgée elle-même qui doit être le premier acteur dans tout ce qui est fait pour elle et avec elle. Mais souvent, nous ne nous mettons pas encore suffisamment dans la peau de ceux dont nous nous occupons tous les jours : nous nous imaginons savoir à leur place. Cette culture peut encore être travaillée en formation et en termes de sensibilisation.

    Oui, car la police et Unia s’engagent pour l’accompagnement des victimes.

    Alain De Backer et Kim De Pauw, police de Gand

    La personne qui fait une déposition pour un délit de haine est reçue par des gens qui se sont explicitement engagés pour cette tâche et qui ont été formés à cela. Nous pouvons lui consacrer du temps et écouter ce qu’elle a à dire.

    Les gens d’Unia sont aussi toujours prêts à fournir une aide lorsque nous avons des questions spécifiques, même si nous tenons bien sûr compte du secret professionnel. Nous parlons aussi aux victimes du soutien qu’Unia peut leur apporter.