Une société de transport en commun refuse systématiquement les candidats de petite taille pour des engagements à des postes de conduite. Grâce à l'intervention d'Unia, elle adapte sa procédure de recrutement et procède plutôt à des tests de conduite.

Une personne malvoyante devrait bénéficier de l’accès à une réserve de recrutement prioritaire dans le cadre des « actions positives » mises en place par une administration. En cours de procédure, les personnes en charge du recrutement n’accordent pas la priorité à la candidate. Unia intervient et permet que des engagements soient pris par l’administration pour faire connaitre les bienfaits des actions positives et les faire respecter.

Une employée d’une administration avec un handicap visuel demandait à son employeur l’aménagement de son temps de télétravail, ainsi qu’un bureau situé près de la fenêtre. Unia est intervenu auprès de l’employeur, qui a finalement accepté de mettre en place ces aménagements raisonnables. 

Un employé est victime de harcèlement puis licencié en raison du spectre autistique dont il est atteint. Après l’intervention d’Unia, le management de l’entreprise décide de mettre en place des aménagements raisonnables et présente ses excuses au collaborateur.

Une dame en situation de handicap ne supporte plus de travailler sur un plateau. Le CPAS pour lequel elle travaille accepte de la changer de bureau et de lui octroyer un jour de télétravail par semaine.

Une personne sourde a besoin de quelques aménagements raisonnables pour bien communiquer avec ses collègues. Après l'intervention d'Unia, son employeur met en place une sensibilisation pour tout le personnel et formalise une liste d'aménagements raisonnables.

Suite à un cancer, un travailleur souhaite retourner travailler dans son institution publique. Il fait appel à Unia pour faire accepter à son employeur les aménagements raisonnables dont il a besoin.

Un employeur envoyait des avertissements aux travailleurs en situation de handicap. La cause ? Une absence de longue durée. L’employeur a été interpellé par Unia et a mis fin à cette pratique.

D'abord réticent, un employeur a finalement accepté qu'une de ses employées passe à mi-temps afin de pouvoir suivre des séances de kinésithérapie de rééducation tous les après-midis.

Une personne en chaise roulante veut adopter un chien d’assistance afin de l’aider dans ses activités quotidiennes. Cependant, lorsqu’elle entend dire que les chiens ne sont pas autorisés sur le lieu de travail, elle sollicite les services d’Unia.