Atteint de troubles d'apprentissage et du syndrome d'Asperger, un élève de 6e primaire est renvoyé de son école six semaines avant qu'il puisse passer son CEB. Ses parents, un service de défense des droits des jeunes et Unia le défendent devant le pouvoir organisateur qui décide de suspendre la procédure d'exclusion. Le jeune a donc pu passer ses examens.

Une école a finalement accepté l'inscription en primaire d'un élève trisomique. Elle estimait ne pas pouvoir répondre à ses besoins scolaires, mais elle a changé d'avis après l'interventione d'Unia et de la Commission des droits de l'élève.

Un élève est harcelé dans son école sur base de sa couleur de peau. Son père le change d'école, mais craint toujours la stigmatisation de son fils et son renvoi vers l'enseignement spécialisé. Il est rassuré lorsque cette école se montre ouverte au dialogue.

Un jeune élève risquait l'exclusion suite à des comportements violents en classe. L'enfant est finalement resté dans l'école grâce à un accompagnement spécifique. La concertation entre Unia, les parents et l'école a porté ses fruits.

Un élève autiste a décidé de changer d'école après un conflit avec sa première école. Unia a organisé une discussion avec la direction de l'école, le centre PMS et un accompagnateur scolaire. Il en est ressorti que l’école contactera désormais proactivement Unia lorsqu’elle se pose des questions ou est confrontée à des problèmes.

Un élève autiste a eu une rentrée des classes difficile après ses vacances d'été. Suite à une lourde chute, il attendait de son école quelques aménagements de son horaire et de son environnement. D'abord réticente, l'école a fini par trouver un terrain d'entente avec les parents grâce à l'aide d'Unia.

La présence en classe des parents d'enfants autistes posait problème dans une académie de musique. Unia a joué le rôle de médiateur et a aidé l'école et les parents à trouver un compromis.

Un élève dyslexique sévère doit recommencer sa 5ème année secondaire pour la troisième fois consécutive.

Une élève de deuxième primaire est, depuis quelques mois, au bord de la dépression. En fin d’année scolaire, l’école organise des activités à l’extérieur avec une nuit sur place. L’élève accepte d’y participer mais refuse de passer la nuit ailleurs que chez elle.

Une école refuse de mettre en place des aménagements raisonnables pour un élève autiste de première année primaire. L’école estime que l’enfant serait plus à sa place dans une école spécialisée. Les parents réitèrent leur demande à plusieurs reprises mais l’école ne réagit pas.